Bulletin No. 40
Trois semaines aux ambulances, par Oger Laurent
Reading time 1 min de lecture
Abstract
« Il ne faut chercher dans cette esquisse, dit l'éditeur, ni art ni effets de style, mais voir ce qui s'y trouve réellement: une peinture vraie, désolée des maux de la guerre, et inspirée par un cœur ému et compatissant à la vue de ceux qui souffrent.»A cette réserve de l'éditeur, nous pouvons ajouter qu'il ne faudrait pas non plus chercher à se rendre compte jour par jour de l'emploi du laps de trois semaines indiqué dans le titre, qui n'est pas en ceci d'accord avec le texte; on serait bien vite dérouté en ne trouvant que douze ou quinze jours entre le moment du départ et celui du retour de M. Oger Laurent à Bruxelles.